Résumé du rapport – Détermination du volume de roseau à valoriser, inutilisable en couverture, issu de la coupe française ou du réemploi pour préserver la récolte des roselières françaises

Ce document de 38 pages a été rédigé par Carole Lemans, autrice d’une thèse sur le potentiel de l’architecture contemporaine de roseau et salariée de l’ARPE Normandie -L’Association Régionale de Promotion de l’Ecoconstruction en Normandie pour le compte du projet BâtiRoseau  financé par l’ADEME et porté par l’ANCC (Association Nationale des Couvreurs Chaumiers) et le Parc naturel régional de Brière. 

En effet, le projet s’intéresse notamment à la valorisation des déchets créés par la filière chaume, et plus particulièrement celle du roseau. Depuis la roselière jusqu’à la toiture, ces milliard de brins ne dépendent pas seulement du traitement qu’il leur est réservé pour parvenir jusque sur nos chaumières: roseaux trop petits, trop courbés ou même cassés par le premier ligature, cette matière représente une énorme biomasse, qu’il serait intéressant de valoriser.

Cette présente étude représente le diagnostic, en quelque sorte, de la valorisation potentielle afin de poursuivre le travail d’expérimentation de techniques constructives hors toits de chaume, c’est-à-dire: panneaux d’isolations, paillage, mortier, etc.

Nous faisons ici un retour rapide des éléments importants figurant à ce rapport.

Rédaction: Marine Leparc depuis le rapport de Carole Lemans, fournit sous la licence CC BY NC ND:
« Cette licence permet aux réutilisateurs de copier et de distribuer le matériel sur n’importe quel support ou format sous une forme non adaptée uniquement, à des fins non commerciales uniquement, et seulement à condition que l’attribution soit donnée au créateur. « 

Pour plus d’informations concernant BâtIRoseau et les actions menées par l’ANCC, veuillez écrire à info@chaumiers.com

Ce projet a été financé par l’État dans le cadre de France 2030 opéré par l’ADEME.